N° 536 - octobre 2015
ISSN : 0570-6270
Maurice Sartre dresse un premier bilan des destructions du site de Palmyre. Les photos nous restent comme seuls souvenirs.
Homo naledi est-il le chaînon manquant entre l’homme et les Australopithèques, ou un simple Homo ergaster?
L’Amazonie n’était pas une forêt vierge. Des milliers de champs surélevés furent construits par les Amérindiens. Une vision surprenante d’un monde disparu.
Palmyre n’est pas la seule cité antique menacée en Syrie. Amrit est la proie des fanatiques et des promoteurs. Nouvelle alerte sur la sauvegarde du patrimoine syrien.
Le Museo Egizio de Turin rouvre ses portes, après plusieurs mois de travaux. Une nouvelle muséographie, plus épurée, des œuvres mieux exposées. La magie renouvelée de l’Égypte des pharaons.
La ville de Messine fut l’une des plus importantes cités grecques du Bassin méditerranéen. Conquise par les Romains, elle entame ensuite un lent déclin. Visite guidée dans les ruines majestueuses de l’antique ville fondée par Epaminondas.
Exposition d’objets de prestige néolithiques rarement montrés au Musée national de préhistoire des Eyzies-de-Tayac.
Enquête sur la technique du torsadage à la Protohistoire. Un savoir-faire retrouvé.
Les Guyanes – formées de la Guyane française et des deux anciennes colonies britannique et néerlandaise, la Guyana et le Surinam – conservent encore bien des secrets. Non seulement les Amérindiens ont densément occupé la région avant l’arrivée des Européens, mais ils l’ont travaillée et modifiée de manière conséquente. Les traces de ces interventions sont encore visibles aujourd’hui, sous la forme de milliers de buttes de terre disposées en grille, visibles surtout du ciel. Ce sont des champs surélevés précolombiens.
Auteur : Rostain (S.)
Magazine : Archéologia n° 536