N° 570 - Nov. 18
ISSN : 0570-6270
Dans ce numéro de novembre, Archéologia vous propose un dossier sur Nîmes et les monuments de spectacles dans l’Antiquité. Quand furent-ils construits ? Pour quel type de prestations ? Qu’ont-ils encore à nous apprendre ? Les fouilles récentes lèvent le voile sur ces questions.
La saison de l’archéologie se poursuit au musée du Louvre avec une exposition consacrée à la magistrale collection du marquis de Campana.
La maison de la culture et du Japon nous plonge dans les merveilles de la culture Jômon, période fondatrice de l’archipel nippon.
Quarante ans après sa découverte, le Templo Mayor aztèque de Mexico, est toujours au cœur d’une extraordinaire épopée archéologique.
Enfin, ouvert aux missions étrangères depuis 2011, le Kurdistan irakien révèle de nouveaux horizons archéologiques, livrant un éclairage inédit de l’histoire de la région.
Bonne lecture à tous !
Le 23 février dernier paraissait, dans la prestigieuse revue américaine Science, un article rédigé par Hoffmann et al., qu’Archéologia présenta (voir n°564) et qui fit grand bruit car il annonçait la découverte, dans trois grottes d’Espagne, d’un art pariétal plus ancien que 64800 ans, reculant ainsi l’origine de cette forme d’expression graphique d’au moins vingt-cinq millénaires. Or, en Europe, ne vit à cette époque que l’homme de Néandertal; ces représentations devaient donc lui être attribuées, induisant un revirement remarquable de nombre de nos conceptions sur cette population.
Auteur : Slimak (L.) - Geneste (J.-M.) - Fietzke (Y.) - Ontañón (R.)
Magazine : Archéologia n° 570 Page : 4-5